Shakespeare, Corneille & Co en ont beaucoup parlé, mais Rostand le dit si joliment : l’amour, finalement, c’est une chose simple, facile, à laquelle il faut s’abandonner sans complexe. Et l’amour du théâtre ici, est magnifié. Quelle jolie pièce, quelle exigeante et parfaite mise en scène, quel jeu de la part des comédiens (et quels superbes costumes) en un mot : MERCI à tous !
Véro. I,