Le théâtre Octave Mirbeau

Venir au théâtre Octave Mirbeau

3 rue Cadot 78510 Triel-sur-Seine

Parking

SNCF : Gare Triel-sur-Seine (Transilien Ligne J – Saint-Lazare) puis 600 mètres à pieds (8 minutes. Voir plan ci-contre)

Un peu d'histoire

Le bâtiment qui abrite le théâtre Octave Mirbeau a sans doute plus d’un siècle d’existence.

Situé entre l’emprise de l’ancien couvent et la fameuse propriété que racheta, il y a plus de 150 ans, une certaine Madame Deville pour y rechercher le Trésor de Jacques II, le bâtiment est installé rue Cadot.

Au début du 20e siècle, il servait de hangar ou d’atelier pour les services municipaux de l’époque. Pendant la guerre, il fût utilisé comme garage puis transformé en bal à la libération.

Il avait alors comme voisin le grand cinéma de Triel d’abord baptisé Régional (par opposition à son petit frère, le Familial situé rue de la Gare) puis renommé Rio avant de finir enterré sous le parking de la poste dans les années 70.

Avec le développement des activités sportives en salle, le bâtiment de la rue Cadot devint un gymnase où se pratiquaient le ping-pong, le tir à l’arc, la gymnastique, la danse classique, le judo et même l’escrime.

À l’ouverture du Cosec en 1977, les sportifs ayant déserté le lieu, l’équipe municipale de Jean Musigman accorda sa confiance aux Comédiens de la Tour pour équiper et transformer les lieux en salle de spectacle (voir article de la plaquette De la Seine à l’Hautil).

C’est en 1995 à l’issue de la rénovation de la salle par la municipalité d’Amour Quijoux qu’à l’initiative de Claude Moisdon, adjoint à la culture – et sur proposition de Philippe Prévost -, la salle fut baptisée Théâtre Octave Mirbeau.

L’histoire du théâtre Octave Mirbeau se confond aujourd’hui avec celle des Comédiens de la Tour.

Qui était Octave Mirbeau ?

Né le 16 février 1848 et mort le même jour de l’année 1917, Octave Mirbeau, écrivain, journaliste, romancier, dramaturge, critique d’art, vécut sur les hauteurs de Triel, dans le quartier de Cheverchemont de 1909 à 1917.

Les Comédiens de la Tour ont joué tout le théâtre d’Octave Mirbeau (à l’exception des Mauvais Bergers) ainsi que des adaptations de ses romans et contes (Le Journal d’une femme de chambre, Pauvre Tom, La justice de paix…) ou de ses chroniques (La grève des électeurs…).