J’y suis, j’y reste

Un spectacle des Comédiens de la Tour
1970

Notre 1ère pièce !

Distribution

Avec (par ordre d’entrée en scène) :

  • Antoinette : Françoise Olek

  • La comtesse : Dominique Paillet

  • Lucie, la femme de Chambre : Marie-Annick Roussel

  • Gisèle : Danielle Coutarel

  • Le Cardinal : Jean-Pierre Ecobichon

  • Le Baron Hubert : Henri Merveille

  • Patrice, le majordome : Claude Ecobichon

  • Jules, le fiancé d’Antoinette : Alain Guillon

Décors : Claude Ecobichon avec la collaboration de P. Besnier, F. Blanchet, P. Blanchet, A. Bougey, M. Joly, H. Merveille, D. Paillet, J.F. Renaud, M.A. Roussel, A.Sarras, J.P.Ecobichon

Accessoires : Henri Merveille, Dominique Paillet

Costumes : Maisons Vachez, Traonouez, Badin, Sil

L'histoire

Une restauratrice du quartier des Halles s’est fait dérober son sac à main contenant ses papiers d’identité. Dix ans plus tard, voulant épouser son barman, elle apprend que sa voleuse a épousé, en empruntant son propre nom, un jeune baron. Elle décide, alors, de se présenter au manoir de son «époux légal » pour lui dévoiler la vérité et réclamer le divorce, semant la perturbation dans l’existence du baron et de sa tante, une comtesse très à cheval sur les traditions. Finalement, c’est un cardinal, en visite au château, qui trouvera une issue à cette situation.

La pièce

La pièce de Raymond Vinci et Jean Valmi est créée au théâtre du Gymnase le 20 décembre 1950.
La création est un succès. La pièce dépasse le millier de représentations, et reste à l’affiche pendant plus de trois ans. Elle est diffusée ensuite à la télévision dans le cadre de l’émission Au théâtre ce soir pour la première fois en 1966 et, dans une autre version, en 1984. Dans ces deux versions, c’est Jacques Morel qui interprète le rôle du Cardinal.
Une adaptation au cinéma est réalisée par Maurice Labro, J’y suis, j’y reste, et sort en 1954.

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